AMLO, à la tête d'un rassemblement à Los Angeles (24/2/2016) Avec le reportage de Gabriela Ortiz; Squillari, Tatiana

La Cartita – Andres Manuel Lopez a visité Los Angeles la semaine dernière pour tenir une série de réunions avec des organisateurs de la communauté au travers des Etats-Unis. Le candidat à la présidentielle a subi deux cas bien documentés d'instances de fraude électorale, et une attaque depuis le lancement de sa première campagne en 2006. Cette année, toutefois, la victoire pour sa candidature semble plus probable.

Andres Manuel Lopez Obrador à Los Angeles, Californie. Photo: Gabriel Ortiz

Enrique Peña Nieto, le President actuel du Mexique, est victime d'une basse popularitédans l'histoire du nouveau Mexique. Le total de ses réformes en attente atteint un taux de 12% de la population. En tant que représentant du PRI le parti qui a été longtemps associé à l’acte de la mise en attente de la présidence depuis plus de sept ans, EPN ( les initiales de Nieto, en espagnol ), a semblablement causé des dommagwes aux ambitions du pouvoir politique du parti à court terme. La privatisation du pétrole, la disparition de 43 étudiants de l’Ecole Normale Rurale d’Ayotzinapa, les divers scandales de corruption liés à Nieto et son épouse, ont tous intensifié le désaccord qu’éprouve le public Mexicain envers le PRI.

#AMLO, à la tête d'un rassemblement à Los Angeles; il réfute les allégations sans fondements de Trump au sujet des mexicains. #AMLOenLA pic.lacartita.com/IQf36oRy9G

— LaCartita (@LaCartita) February 14, 2017

A Los Angeles, des milliers de Mexicains se sont joint au candidat opposé pour visionner sa campagne présidentielle et pour faire échos à ses déclarations en solidarité avec les personnes visées par l’administration de Trump. La plupart des Mexicains continuent à être irrité par la réponse du gouvernement de Peña Nieto. Lopez Obrador continue à nourrir et à répondre à cette colère collective.



Les Mexicains sont actuellement en colère en ce qui concerne la hausse du prix du pétrole qui a été temporairement suspendue en raison des protestations générales. Pendant les vacances de 2016, le gouvernement mexicain a lutté pour gérer les effets de la privatisation et a diminué la sécurité le long des canalisations de pétrole et du carburant de PEMEX.

Les cartels continuent à siphonner le gaz directement depuis l’infrastructure publique dans l’ensemble du Mexique, ce qui a mené aux pénuries répandues du carburant. Comme détaillé dans notre histoire de Décembre: «Mexico : falta de combustible marcara la economia politica del país al inicio del 2017 », quelques régions ont même des pénuries qui ont été complétement ignorées par le gouvernement fédéral.