Dans la lutte pour la décriminalisation de l’avortement: le cas de Puebla

Il semblerait que le débat sur la décriminalisation de l’avortement réchauffe les coeurs à Puebla. Des informateurs affirment que des personnalités politiques de haut niveau, dont Alejandro Armenta Mier, feraient pression sur les députés afin d’éviter de laisser ce sujet sensible aux mains du prochain gouvernement.

Législation en discussion

Le Congrès de Puebla examine actuellement deux initiatives visant à réformer le Code pénal et la Loi sur la santé de l’État. Ces réformes ont pour objectif de décriminaliser l’avortement en modifiant les articles 339, 340, 341, 342 et 343 du code. En baissant ses contraintes légales, l’État de Puebla fait un pas vers une liberté de choix en matière de procréation plus importante.

L’importance de la mobilisation populaire

Des groupes féministes et des organisations de défense des droits de la femme attendent avec impatience l’adoption de ces nouvelles lois. Leurs efforts pour faire avancer la légalisation de l’avortement ont atteint un point culminant lorsque la question a été abordée lors d’une session du Congrès le vendredi dernier.

La politique politique

Un choix difficile

Bien que le Congrès de Puebla semble pencher vers l’adoption de la loi, le dilemme reste entier. Les législateurs doivent décider s’ils veulent entièrement décriminaliser l’avortement ou seulement durant les premières 12 semaines de gestation.

Les votes à venir

Selon des sources locales, la décriminalisation de l’avortement devrait être approuvée en commission avec neuf votes pour et cinq contre. Cette majorité garantirait son passage au débat et au vote en plénière le lundi suivant.

La question de la politique politique

Ce débat sur l’avortement qui était autrefois évité par le Congrès de Puebla, prend maintenant le devant de la scène législative. La législation qui en découlera pourrait non seulement changer la vie des femmes à Puebla, mais aussi celle de toute la nation.